caguirofie

哲学いろいろ

 Elian

もくじ
#1:本日
#2:2010-10-17 - caguirofie101017
#3:2010-10-18 - caguirofie101018
#4:2010-10-19 - caguirofie101019
#5:2010-10-20 - caguirofie101020

#6:2010-10-21 - caguirofie101021
#7:2010-10-22 - caguirofie101022


La manuscrit et les poèmes d'Elian


de Takaaki YOSHIMOTO


S'il m'était possible d'être fier,
Je le serais de ma faiblesse.
( 2e épitre aux Corinthiens 11:30 )


1. De Tempore Mortibus (1)


La Mer !
Ta lyre d'Orphée,
Ta tranquille sonorité
Papillonnante
M'oriente vers la main d'Automne.


La Mer !
Tu me fait peur, après
Que tu m'as qitté
Au loin,
Toi ! et de vivre ainsi !


" C'est le poème de toi, Elian, à l'âge de seize ans.Souviens-t'en.Tu l'as écrit quand tu étais amoureux de Milica; tu habitais alors chez quelqu'un dans un quartier commerçant... Ah, oui, C'était chez Professeur Otho."
 C'était l'automne.Le ciel bleu était tout doux comme une paupière de cheval. A côté de la fenêtre, Prof. Isabel Otho m'apprenait la poème... les vers de Kurt Heinecke.J'étais renfermé. On avait peur qu'il ne vaudrait mieux vivre...
Les plue minutieuses réflexions m'emmenaient la conscience vers la mort. Mon Professeur aimait Milica, je le trouvai. Prof. Otho porta silencieusement vers moi ses paupières mouillées, et puis, les détourna de nouveau.

          • Milica m'a dit qu'elle voudrait se marier tôt et se faire mère.
          • Ah, oui ?...


Les nombreuses prières m'appelèrent, mais sans aucunes formes; je ne pus pas les identifier. Auveil d'un matin je me trouvai léger, mon corps flottant, et triste. Je pensai que je pourais me tuer. Maintenant, je vais me dégager de la nuage qui couvre mon temps. J'avais peur de l'adolescence inconnue; de la jeunesse grise, de la vieillesse sombre. Je me sentai emprisonné... Je pris mon poignard de la table.

          • Pourqoui faut-il mourir ?
          • Je ne sais pas.
          • Tu as peur ? De la mer du temps là-haut ?
          • Peut-être. Les Heures me semblent tout comme les Gorgones.

Un jour, Prof. Otho me l'avoua. Je voulus pleurer à haute voix, mais seulement il m'en retient le vers sacré auquel Milica m'avait initié: " Puisque ' chez nous ' s'appelle la maison des prières... "

          • Elian, pour vivre ici-bas tu est trop funeste.
          • Elian, pour vivire ici-bas il faut satisfaire.
          • Elian, pour vivre ici-bas tu blesse trop avec les paroles de poils d'ours.
          • Elian, pour vivre ici-bas, tu est trop laid: on ne peut pas t'aimer.
          • Elian, pour vivre ici-bas, il t'est impossible, puisque tu ne peux pas résiste à la paix.


Je ne pus pas croire, alors, Milica. La parole de Prof. Otho suggéra quelque chose. Ce fut auveil du lenmdemain que je pris le poignard de la table. C'était l'automne !
( à suivre )