caguirofie

哲学いろいろ

Brissac

Causses Cévenoles - Hérault
: il s'agit d'un bourg pittoresque perché avec un château médiéval des XIe et XIVe siècles, pour lequel de nombreuses adjonctions lui ont été associées les siècles plus tard. Il faut admirer encore dans ce site la belle église romane classée du XIIe siècle dont la nef a intégralement conservé son ordonnance romane, le château fort construit sur un piton rocheux protégeant la cité ainsi que le pont du XVe siècle bâti en dos d'âne.

毒殺疑惑のロシア元中佐…英政府、情報提供を要求

Londres demande l'aide de Moscou dans l'enquête sur la mort de Litvinenko
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 24.11.06 | 13h58

Moscou pourrait-il venir en aide à Scotland Yard dans son enquête sur la mort de l'ex-agent russe Alexandre Litvinenko ? C'est en tout cas ce qu'ont demandé les autorités britanniques à leurs homologues russes, vendredi 24 novembre. Des responsables du gouvernement britannique ont discuté vendredi après-midi avec l'ambassadeur de Russie en Grande-Bretagne, Iouri Fedotov, du cas de M. Litvinenko, l'ancien agent secret russe qui est mort, jeudi, après avoir été empoisonné par une matière hautement radioactive, le polonium 210. Les Britanniques ont demandé aux Russes de leur fournir toute information qui pourrait les aider dans leur enquête.

仏女性 3日に1人“DV”で死亡

Une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon
LE MONDE | 22.11.06 | 14h34

En France, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon. Telle est la conclusion d'une étude rendue publique en conseil des ministres par Catherine Vautrin, ministre déléguée à la cohésion sociale et à la parité, mercredi 22 novembre, quelques jours avant la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, samedi 25.
Depuis le 1er janvier, 113 morts violentes ont été recensées au sein de couples ou d'ex-couples. "Près de 1/7e des décès sur le plan national sont commis dans la sphère privée", souligne l'étude. Les femmes représentent 83 % des victimes. Dans les cas de décès masculins, 66 % des femmes meurtrières avaient subi des violences conjugales.
Dans plus de la moitié des cas, les auteurs n'avaient pas d'activité professionnelle : ils étaient retraités, chômeurs, en arrêt maladie ou en invalidité. Dans un quart des dossiers, ils étaient sous l'emprise de l'alcool.
"Le constat est dramatique, souligne Mme Vautrin. Les victimes, qui, contrairement à ce que l'on pense parfois, viennent de tous les milieux, ont souvent peur de parler. Pour les encourager à sortir du silence, nous allons lancer ces jours-ci une campagne de sensibilisation sur les violences conjugales et créer dès le début de l'année prochaine un numéro d'appel unique pour les victimes."